La notion de deuil est quelque chose d'assez abstrait finalement. On sait que l'on a perdu quelqu'un ou quelque chose, sans vraiment se rendre compte que ce que l'on a vraiment perdu c'est une partie de soi-même. La personne que l'on était en présence du défunt, la personne que l'on était dans ce travail passion, l'enfant insouciant que l'on était  avant de tout quitter pour un déménagement...Cette personne, ce lieu, cet objet,  qui nous faisait nous sentir parfois aimé, parfois incompris et que l'on prenait pourtant comme quelque chose de toujours acquis. Ces qualités et ces défauts qui faisaient que quoi qu'il arrive, on se sentait considéré par quelqu'un ou quelque chose.

Qu'entendons-nous par "deuil" alors? Car être en deuil et faire son deuil sont deux choses différentes. On apparente souvent le deuil à la mort mais c'est aussi vivre la fin d'une époque. Etre en deuil c'est la période dans laquelle on se trouve. C’est vivre et demeurer dans la détresse liée à la perte de quelqu’un ou quelque chose et ainsi s’habituer à cohabiter avec cette souffrance.  Faire son deuil c'est vivre la souffrance au cours d'un processus qui permet ensuite de s'affranchir de cette souffrance. C'est apprendre à de nouveau faire circuler le flux de la vie afin de ne pas subir de "manque à vivre". C'est un processus de guérison émotionnelle, psychologique, physique, énergétique et spirituelle.

Grâce au Dr KÜBLER-ROSS, psychiatre, et son travail sur les différentes étapes du deuil et leurs conséquences; nous pouvons aujourd'hui travailler sur un accompagnement du deuil.  A l'aide des mes outils en Kinésiologie et de ma spécialisation dans ce domaine, je vous accompagne tout en douceur et à votre rythme vers le chemin de la libération. Je vous guide afin de ne plus subir votre perte, et ainsi retrouver un lien d'amour dont vous pourrez tirer ressource afin de continuer à évoluer.

"Rares sont ceux qui font leurs deuils jusqu'au bout. Rares sont ceux qui en ont conscience. Mais heureux sont les privilégiés." M.J